-- downtown love.

date, lieu de naissance: née ici-même, à Redcliff, le 6 mai 1989 (sous le signe du taureau, par extension). nationalité, origines: si elle est de nationalité américaine, c'est pourtant du sang irlandais qui coule dans ses veines, de par les origines de ses deux parents : les Duggan ont beau tous être nés sur le continent américain, ils ont cependant plusieurs fois fait le voyage jusqu'à leurs terres d'origines, aussi fiers d'elles qu'ils peuvent l'être. statut civil, orientation sexuelle: si elle a déjà tenté le coup avec le beau sexe (autant en matière de simples baisers que de sexe) et si elle a effectivement assez apprécié ça, Phoebe s'est pourtant toujours considérée comme étant hétérosexuelle, et manquant un peu de tact pour l'affirmer, par moments. elle est également divorcée : après un mariage qui s'étendit sur six ans de sa vie (de ses dix-neuf à ses vingt-cinq ans), officialisé sur un coup de tête lors d'une virée soudaine à Vegas et par l'Elvis du pauvre, elle finit par demander le divorce pour reprendre un peu sa vie en main, après avoir eu la sensation qu'elle lui échappait grandement lors de la dernière - voire les deux dernières - année de vie du couple. job, statut financier: elle ne roule clairement pas sur l'or : Phoebe gagne sa vie en tant que barmaid, grâce au salaire et aux pourboires - qui ont leur importance - que lui offrent les clients. situation familiale: les Duggan, Mary et Cian, comptent au nombre de trois leurs enfants : Corey, trente-quatre ans, Phoebe, vingt-huit ans, et Lydia, vingt-deux ans, petite dernière du clan. Famille unie et de la classe moyenne, les Duggan ont toujours eu ce côté presque « clanique » qui les pousse à rester proches les uns des autres mais qui pose également problème lorsque l'un des enfants se retrouve à ramener une personne dans sa vie : les uns et les autres ont du mal à l'accepter, la toisent, la détaillent, la questionnent et se font souvent un premier jugement assez hâtif - et négatif - sur sa personne. Loin d'être totalement tolérants, ils cherchent, à la manière d'une meute, à se protéger mutuellement et prennent comme une possible menace chaque nouvelle arrivée romantique ou trop proche trop vite dans l'entourage d'un des membres de la famille. Et, ici, chacun à sa façon de faire : les parents Duggan restent silencieux, observent, se font un avis plus réfléchi que leurs enfants et finissent rapidement par le laisser entendre, parfois sans beaucoup de tact. Corey, lui, a tendance à faire en sorte d'impressionner les compagnons de ses sœurs pour leur montrer ce qui les attend s'ils ont le malheur de leur faire du mal. Phoebe s'amuse à glisser quelques piques dans la conversation, des remarques un peu cassantes pour rappeler qu'il ou elle n'est que de passage dans la vie de son frère ou de sa sœur à partir du moment où elle décide de ne pas les laisser plus amplement s'installer ici. Et Lydia, elle, a plus tendance à tenter de se la jouer bonne copine et soutient pour soutirer quelques informations en plus et pouvoir nourrir les G3 ou G5 qu'ils se font quand quelqu'un arrive. En bref ? Les Duggan sont le cauchemar de chaque personne se mettant en couple avec l'un d'eux. traits de caractère: le caractère chaleureux des irlandais n'a pas échappé à Phoebe, qui sait se montrer très rapidement sociable et amicale dès lors qu'elle fait une nouvelle rencontre. charismatique et assez populaire, elle est de ces personnes parvenant à aisément créer un cercle autour d'elles, et à se faire apprécier. cependant son caractère est à double tranchant : elle a beau être amusante, gentille, et avoir un côté maternelle développé (que son frère et sa sœur subissent au quotidien), elle peut également faire preuve d'un sacré mauvais tempérament lorsqu'elle se trouve dans ses mauvais jours ou que quelqu'un s'est attiré son courroux. piquante, voire cassante, elle n'hésite pas à balancer des remarques à la figure de quelqu'un qui aurait, selon elle, abusé, et n'a pas peur de blesser dans ces cas-là. fière, digne, elle a beaucoup de mal à s'excuser. Phoebe a les pieds sur Terre, et le sens du devoir. elle sait assumer ses responsabilités et préfère largement aller au bout des choses, et préfère la réalité sécurisante aux paillettes éphémères. elle a besoin de ses repères, déteste les perdre, aussi son divorce arriva tardivement aux yeux de sa famille à cause de ce dernier point. honnête, stable et persévérante, elle fait preuve d'une sacrée détermination quand elle entreprend quelque chose ou qu'une idée lui passe par la tête (il est alors quasiment impossible de la lui retirer, tant elle peut-être butée, et ce même si elle a tort - ce qu'elle détestera admettre). elle peut se montrer très chiante avec ses proches, et a parfois du mal à voir la limite des choses. sensuelle, elle préfère de loin les plaisirs simples de la vie, autant lorsqu'ils concernent la nourriture (elle est gourmande), la vie sociale ou le sexe. un brin matérialiste, elle aime consommer et juge que l'argent n'est pas fait pour être uniquement gardé dans un coffre-fort. elle obtient souvent ce qu'elle veut, notamment en matière de couple, car possède un certain talent pour faire passer ses idées pour celle de son homme et ainsi s'éviter les débats interminables. en amour, elle peut également se montrer possessive et n'appréciera pas que d'autres femmes tournent autour de son compagnon. avatar, crédits: amber heard, soft parade.

(un) Si Redcliff a été témoin de beaucoup de choses, elle l'a aussi été de la naissance, puis de l'existence entière de l'une de ses filles. Phoebe a vu le jour sur les mêmes terres qu'elle continue de fouler aujourd'hui, dans une famille à la situation financière certes loin d'être la plus idéale, mais également loin d'être catastrophique. De la classe moyenne, Mary et Cian ont toujours pris à cœur le principe d'élever leurs enfants pour qu'ils ne manquent jamais d'amour, de soutien et de compréhension, quand bien même ils pouvaient, par moments, avoir un peu de mal à boucler les fins de mois. Créant ainsi cette union entre tous, les Duggan agissent depuis comme une meute, où personne ne doit être laissé de côté. Dès qu'un membre se sent affaiblit – à cause d'une peine de cœur, amoureuse comme amicale, d'un échec, d'un renvoi, de n'importe quelle raison car aucune ne justifierait de se laisser tomber les uns les autres –, les autres sont là pour tenter comme ils peuvent de le relever et, tous ensemble, y travaillent jusqu'à ce qu'il soit à nouveau sur pied. Tout à chacun se porte un amour sans failles, sans fin, et serait prêt à n'importe quel sacrifice pour sa famille. Qu'importent les querelles qui parfois sévissent, comme dans chaque foyer, car elles sont toutes très rapidement mises de côté pour se serrer les coudes, et d'autant plus en période de crise. Chacun possède son rôle, chacun prend celui de protecteur, de soutien, de coach à sa façon en fonction de son caractère, quand bien même tous s'avèrent être bien trempés. Les Duggan, dans le coin, sont clairement connus pour être parfois... eh bien... loin d'être discrets. (deux) Depuis qu'elle est adolescente, Phoebe se traîne sa réputation derrière elle. Comme la plupart des membres de sa famille, elle ne fait pas dans la demi-mesure quant à l'avis que lui portent les gens : soient ils l'aiment, soient il ne l'aiment pas. L'entre-deux n'existe pas vraiment et, contrairement par exemple à sa petite sœur, qui elle parvient à se faire majoritairement apprécier des autres, il arrive tout autant que les gens se placent dans un cas comme dans l'autre. Phoebe a une grande gueule. Phoebe l'ouvre, à la première occasion, pour donner un avis même lorsqu'il ne lui a pas été demandé de le faire. Et ce côté mêle-tout a tendance à bien déranger autour d'elle. Mais par la même occasion, elle plaît. Et elle plaît beaucoup, au point d'avoir déclenché autour d'elles quelques problèmes lorsqu'elle était encore au lycée ; comme la plupart des ados à cet âge-là, elle s'amusait à papillonner çà et là, à faire battre ses cils nouvellement maquillés et à pointer en direction des garçons ses lèvres naturellement rosées. Déjà très jolie à l'époque, elle aimait plaire et attirer les regards à elle, jouer un peu de ses charmes et de ses formes déjà assez généreuses, et utiliser la technique du « fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis » avec ses camarades. La séduction lui plaisait et, déjà à quinze ans, elle avait une idée sommes toutes assez précise de la façon dont elle pouvait et devait s'y prendre pour faire venir à elle les garçons. Sans pour autant aller plus loin que ça : la séduction. Dès lors que l'intérêt était trop fort, que les choses commençaient à se tasser pour laisser place à une possibilité de quelque chose en plus qu'un premier baiser, elle avait tendance à aller voir ailleurs où elle pouvait papillonner. Certains diraient qu'elle était charmeuse, d'autres la traiteront de salope. Les deux se sont propagées autour d'elle, et je vous laisse deviner laquelle a fini par faire le plus de bruit. (trois) Mariée très jeune, elle n'avait pas connu énormément d'hommes avant de filer à Las Vegas avec son petit ami pour se jurer mutuellement l'amour éternel devant l'Elvis du pauvre. Dane et elle étaient ensemble depuis moins d'un an quand ils sont partis en virée. Rien n'était prévu dans tout ça : ni le voyage, ni ce qu'ils y feraient. Sans trop d'argent pour jouer dans les différents casinos, ils se sont retrouvés un peu comme des idiots sur place et ont cherché quoi faire. Persuadés de s'aimer jusqu'à la fin de leurs jours, ils ont donc voulu officialiser ça. C'était kitsch, cheap, impersonnel, ça puait l'alcool, la weed, le sexe, tout autant sur eux que sur les gens qui faisaient la queue, et pourtant, c'était sincère. Phoebe n'avait que dix-neuf ans à l'époque, Dane vingt-et-un. À leur retour à Redcliff, les gens se sont montrés outrés, choqués, et particulièrement... déçus. Pour eux, si l'amour qui les unissait avait été aussi sincères qu'ils s'amusaient à le clamer, alors ils l'auraient partagé avec leurs proches pour se promettre devient Dieu le caractère éternel de leur relation. On leur dit, maintes et maintes fois, que leur histoire allait se prendre un mur tôt ou tard. Qu'ils courraient, à s'être épousés aussi vite, droit à la perte. Et pourtant, des mois, des années plus tard, les détracteurs perdirent un peu de leur souffle et commencèrent à les laisser réellement tranquilles. On se disait, pourquoi pas ? Après tout, si le temps ne semblait pas avoir d'emprise sur leur histoire, qu'est-ce qui leur permettait de juger ? Mais au final, les mauvaises langues n'étaient pas si mauvaises. Six ans après le début de leur idylle et leur mariage en hâte, Phoebe demanda le divorce. Rendue un peu amère par la nécessité de rester à Redcliff quand elle rêvait d'ailleurs, simplement parce que Dane ne voulait, ne pouvait pas quitter les lieux, elle avait accepté le sacrifice avec un sourire fin et résolu, et avait rouvert les yeux six ans plus tard. Après des années de boulots qu'elle n'aimait pas, des mois de disputes avec Dane à cause de la situation qui ne leur convenait plus à tous les deux, les premières envies qu'elle ressenti pour aller se perdre dans d'autres bras et qu'elle a tenté de réprimer et, surtout, d'oublier, Phoebe renonça à se battre pour ce qui était, semble-t-il, déjà mort. Alors même que leurs sentiments n'étaient pas retombés, leurs signatures s'apposèrent côte à côte sur le papier et mirent fin à leur histoire d'(e dés)amour. (quatre) Ça fait depuis son divorce, donc depuis désormais trois ans, que Phoebe travaille comme barmaid sur Ann Arbour Street. Si ça n'est pas le métier de ses rêves et si finir derrière le comptoir d'un bar, à servir bières, whiskys, et autres cocktails, n'avait jamais été dans son plan de vie de rêve, c'est pourtant un métier qui semble lui convenir assez bien. De nature sociable et charmeuse, Phoebe s'est rapidement fait sa place là-bas et a réussi à se créer un entourage, un nombre important de connaissances qui lui permettent de voir les choses avec plus de philosophie qu'elle ne l'aurait cru. Quand bien même elle se montre encore parfois un peu amère à cause de sa place actuelle et de la vie qu'elle mène comparée à ce qu'elle aurait voulu faire, Phoebe parvient à relativiser durant ses longues soirées au bar et à continuer de sourire de son plus bel éclat, profitant de l'opportunité qui lui est offerte de faire des rencontres et d'en apprendre plus sur les différents habitants de Redcliff, ceux qu'elle ignorait comme ceux qu'elle pensait connaître, se faisant une place à la fois confortable qu'elle peut être inconfortable de psychologue bas de gamme. (cinq) Phoebe fait partie de ces adeptes des plaisirs simples de la vie, ceux à portée de mains de tout à chacun et qui ne nécessitent pas des dépenses pharamineuses pour être assouvis – la chanson « cheap thrills » de Sia aurait pu être son hymne, si tant est qu'elle avait apprécié un minimum la chanteuse pour se faire. En bonne enfant de Redcliff, elle préfère de loin le contact avec l'extérieur, la nature, les animaux – elle possède d'ailleurs un chat de gouttière âgé de quatre ans, qu'elle a appelé Phil, et une chienne de deux ans, une boder collie croisée labrador, Jessie – plutôt qu'aux voyages en jets qu'on lui laisse miroiter à travers les séries et les films qu'elle regarde. Elle n'a jamais cherché à mener une grande vie et quand bien même elle espérait pouvoir quitter les terres qui l'ont vue naître pour voir ce que le reste du monde pouvait bien réserver, elle s'est faite à l'idée d'y passer le reste de ses jours. Dans la gamme des plaisirs simples, les repas maisons surpassent de loin les dîners dans les restaurants les mieux côtés, les soirées entre amis dépassent celles passées en boîte de nuit, à faire s'envoler les billets pour s'offrir un magnum de champagne. (six) Depuis son divorce, elle n'a pas connu de réelle relation suivie, tout au plus quelques fréquentations de deux, trois, quatre semaines grand maximum avant que les choses ne se brisent. Refroidie par les circonstances de son mariage et la façon dont les choses se sont finies avec Dane, elle ne prévoie pas de se remettre dans une affaire sérieuse pour l'instant et préfère, encore une fois, la légèreté des histoires sans grand enjeu derrière. Durant les trois dernières années, elle n'a connu qu'un nombre d'hommes réduit, avec une tendance à remettre le couvert avec certains quand le besoin d'un corps auprès d'elle pour embrasser, caresser, toucher le sien, ou celui de ne pas se réveiller totalement seule le matin se fait sentir. Sans jamais accepter de s'engager pleinement, elle se contente donc majoritairement de compagnie masculine le temps d'une ou deux nuits d'affilées tout au plus. Elle aime à dire qu'elle le « sentira » lorsqu'elle sera prête à renouer de façon plus profonde et plus poussée avec un homme, de toute façon. (sept) Point qui peut parfois gêner ses proches les plus sensibles sur la question : Phoebe est une grande fan de film d'horreur. Passionnée du genre depuis qu'elle est gamine – et donc bien avant d'être en âge pour en regarder –, elle a vu et revu les plus grands classiques du genre et adore partir à la recherche de petites perles méconnues du grand public et qui valent le détour. Fan de Wes Craven, de James Wan, de John Carpenter et de Rob Zombie, elle apprécie le genre dans son sens le plus vaste, passant des films gores (souvent les slashers) aux films sur les esprits, en passant à chaque fois par chaque parcelle horrifique qui peut exister entre les uns et les autres. Elle ne compte plus aujourd'hui le nombre de films du genre qu'elle a pu voir, et en parle avec la voix de celle qui aurait vécu cent ans et connu toutes les histoires qu'ils peuvent bien raconter. (huit) Si Phoebe aime plaire et se trouve être assez coquette (quand bien même elle n'irait pas mettre que des robes ou autres : en été, il est bien plus souvent probable de la trouver en short et t-shirt qu'avec une jupe ou une robe), il y a pourtant deux faces au miroir : d'un côté, vous la verrez la plus souvent apprêtée un minimum, les yeux légèrement maquillés, la bouche mordue pour donner une plus jolie couleur à ses lèvres, et des vêtements un minimum réfléchis pour ne pas faire de faux pas irréparable en matière de mode, autant à d'autres moments, par exemple si vous déboulez chez elle par inadvertance, vous la trouverez probablement avec un chignon difforme sur la tête, démaquillée, affublée d'un jogging et le cul posé devant sa télé le temps d'un week-end pour récupérer de la semaine qu'elle aura passé. Elle vous regardera alors en riant un peu, haussant innocemment les épaules avec un légère moue pour vous souffler que chaque femme a sa part de flemmardise à un moment donné. (neuf) L'élégance de Phoebe s'arrête là où son envie de jurer commence. Surnommée « Miss Swears-a-lot », elle a la fâcheuse manie de ponctuer ses phrases d'injures, de « putain », de « merde », de « fait chier », qui ont tendance à trahir la spontanéité de ses paroles et de la vivacité de ses pensées. Adepte des mots grossiers, ce qui a tendance à faire froncer les sourcils de sa mère et résonner le rire venu du fin fond de la gorge de son père, elle est également membre du club des gens qui insultent affectueusement : ainsi, dès lors qu'elle commencera à vous dire que vous êtes cons ou à vous donner comme surnoms toujours plus de noms d'oiseaux, vous pourrez estimer que vous faites partie intégrante de ses amis – non pas qu'elle se retienne devant les gens qu'elle ne connaît pas ou peu, mais simplement que dans une conversation, elle n'aura de toute façon pas le réflexe d'aller vers eux. Si sa mère déteste cette manie et tente de la lui retirer depuis qu'elle est adolescente, Phoebe la considère comme faisant partie d'elle et ne manque pas de rouler des yeux lorsque Mary Duggan affirme qu'il ne revient pas à une femme d'insulter les autres, posant avec une effronterie qui fait tout autant partie d'elle ses pieds sur la table et s'allumant une cigarette au passage, les yeux rivés droits dans ceux de sa mère. (dix) Phoebe possède plusieurs tatouages sur différentes parties du corps ; son premier date d'il y a bientôt dix ans, et a été en fait en référence à son ex-mari. Il s'agit d'un poème de Pablo Neruda (« Te amo como se aman ciertas cosas oscuras, secretamente, entre la sombra y el alma »), écrit en calligraphie et en rouge sur son flanc gauche. Elle a, sur l'annulaire droit, le symbole de Vénus et de la féminité en un lignage simple. « BabyDoll » tatoué à l'intérieur du même doigt, surnom qu'elle avait écopé de la part de Dane lorsqu'ils étaient ensemble – pleine d'ironie, elle vous dira que son tatouage aura donc tenu plus longtemps que son couple, quand bien même cet endroit là est réputé pour ne pas être si éternel que ça. Elle a pour projet de se refaire tatouer, en se mettant un frein pour ne pas recommencer trop souvent et ne pas finir recouverte trop vite.

pseudo, prénom: kidd, faustine. âge, pays: vingt-et-un ans, france. personnage: inventé. dédicace: on remerciera @michael sparks n'est-ce pas.