(1/2) the family we build is the one we choose.

Eliza, c'est la force libre. L'âme vivante, presque impénétrable. On ne lui a jamais dicté sa vie, d'ailleurs, elle n'a jamais laissé personne le faire. Eliza, elle a toujours que les hommes et les femmes n'étaient pour aller ensemble que dans les contes de fées. Eliza, elle a toujours su que les femmes c'était son truc. Vivante, elle ne se laisse pas bouffer par la routine de la vie, trop peureuse de finir seule et malheureuse. Elle a besoin des autres, besoin d'aimer et d'être aimé. Elle aime son métier comme une seconde nature, il l'a défini et elle a fait sa façon de vivre, elle a gravis les échelons seule et en ressors forte et mature. Bref, je vous présente Eliza.
suggestions d'avatar: nathalie emmanuel, gal gadot, floriana lima,gugu mbatha-raw... autres N

ici, Eliza & Meera. The love at first sight. Elles se sont trouvées ses deux là, c'est évident. Il y a un an et demi, Eliza était un peu dans la dech. Elle a intégré une colocation de manière provisoire. Meera dormait dans la chambre d'à côté. L'une comme l'autre, elles ne comptent plus le nombre de nuits où elles se sont demandé ce que cela ferait de dormir dans le lit de l'autre, de sentir leur corps se toucher. C'est que Eliza a quitté la coloc six mois plus tard que c'est arrivée. Le premier baiser, la première nuit, le premier regard. Laisser libre court à leur tentation, à leur sentiment. Eliza peut lire en Meera comme dans un livre ouvert et Meera connait Eliza mieux qu'elle ne se connait elle-même. Elles ne peuvent rien se cacher, sauf peut être leur amour, aux yeux des autres. Meera, elle n'a jamais révélé son homosexualité, famille riche et bourgeoise, principes, manières et autres arts de vivre, une mentalité qui n'accepte pas les personnes "divergentes", différentes. Mais, Eliza, elle ne veut plus ça. Eliza, elle veut pouvoir l'embrasser en plein milieu de la rue et se balader main dans la main.

x n'a pas de parents, enfin peut être que si, mais il ne les connait pas. X dit qu'il s'en moque, mais au fond, X se sent terriblement seul. Alors, pour combler se vide, X joue avec les limites. A l'orphelinat depuis son plus jeune, X sait qu'il/elle ne sera plus adopté maintenant, trop âgé.  Alors, à quoi bon. La vie est une mauvaise histoire parfois, comme un cauchemar. La roue ne tourne pas pour tout le monde, ou alors, dans le mauvais sens. Habitué des heures de colles et travaux d'intérêt général, X risque bien de mal tourné, si ce n'est pas déjà fait.
suggestions d'avatar: au choix.

On l'a envoyé voir Meera il y a quelques mois déjà, on a dit à X que ça pourrait l'aider. L'aider pour quoi ? Sortir de se trou à rat ? Meera est tout ce que X déteste. Elle a une famille et de la tune en plus. Pourtant, cette femme, elle a un truc qui cloche, elle ressemble pas à une gosse de riche que t'as envie de coincer à un coin de rue. Non, Meera, elle essaye de lui dire que tout ira bien, Meera, elle lui dit les choses, les choses qui font mal pour lui remuer le derrière, elle donne des limites et sait se taire quand il le faut. Dans le fond, X, il/elle admire Meera. Cela va au delà de la relation soignant/soigné. C'est un peu comme une soeur, une famille qu'il/elle n'a jamais eu.